Simulation assurance emprunteur : outil indispensable pour souscrire en 2023

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L’assurance emprunteur est un élément incontournable quand on souhaite obtenir un prêt immobilier. Elle vous protège ainsi que la banque en cas d’accidents de la vie dont vous seriez victime en cours de prêt. Vous avez le droit de choisir librement le contrat d’assurance. Ne vous privez pas de cette opportunité pour faire des économies importantes tout en étant bien couvert.

Quelles sont les garanties d’une assurance de prêt immobilier ?

L’assurance emprunteur est destinée à sécuriser les sommes prêtées en cas d'événements suivants : décès, invalidité et incapacité, voire perte d’emploi. À chaque type de sinistre, correspond une garantie spécifique qui entre en jeu pour rembourser la banque à hauteur des conditions stipulées au contrat :

  • la garantie décès : le capital restant dû est pris en charge par l’assurance.

  • la garantie PTIA (Perte Totale et Irréversible d’Autonomie) : les mensualités (ou le capital restant dû) sont remboursées à la banque.

  • la garantie ITT (Incapacité Temporaire Totale de travail) : en cas d’arrêt de travail pour maladie ou accident, les mensualités sont prises en charge de manière partielle ou totale, pour une durée ne pouvant excéder 1095 jours, après application du délai de franchise.

  • les garanties invalidité : selon la formule souscrite, en cas d’incapacité à reprendre une activité professionnelle rémunérée, la garantie IPP (Invalidité Permanente Partielle) ou la garantie IPT (Invalidité Permanente Totale) entre en jeu.

Les garanties s’appliquent à hauteur de la quotité assurance de prêt définie lors de la souscription. Cette quotité est obligatoirement de 100% si vous empruntez seul, et oscille entre 100% et 200% en cas d’emprunt à deux. La garantie perte d’emploi est rarement souscrite car elle n’offre pas un ratio coût/prestations avantageux en raison des conditions restrictives de sa mise en œuvre.

Combien coûte une assurance de prêt immobilier ?

Le coût de l’assurance emprunteur dépend de plusieurs paramètres :

  • votre âge

  • votre état de santé

  • votre profession

  • votre mode de vie (fumeur, non-fumeur, pratique d’un sport dangereux)

  • les caractéristiques du prêt (nature, durée, montant)

  • la compagnie d’assurance.

L’assurance emprunteur coûte en moyenne un tiers du coût global d’un crédit immobilier, lui-même exprimé par le TAEG (Taux Annuel Effectif Global), indicateur qui agrège tous les frais liés à l’obtention du financement bancaire.

Derrière une moyenne, se cachent des situations bien différentes. En présence de risques, le coût de l’assurance prêt immobilier peut excéder 1% du capital emprunté. L’âge est un facteur déterminant dans la décision de l’assureur de vous accorder le bénéfice de l’assurance et pour en définir les conditions (surprime assurance prêt immobilier, étendue des garanties, exclusions).

Voici une grille des taux moyens d’assurance en fonction de l’âge (hors données de santé) :

Tranches d’âge

Taux moyens assurance (TAEA*)

20-30 ans

Entre 0,10% et 0,36%

30-45 ans

Entre 0,12% et 0,46%

45-55 ans

Entre 0,36% et 0,65%

55-65 ans

Entre 0,50% et 1%

A partir de 70 ans

1% et plus

*TAEA : Taux Annuel Effectif Assurance

Obligatoirement rempli en toute bonne foi, le questionnaire de santé assurance prêt immobilier va renseigner l’assureur sur les risques que vous incarnez, ce qui lui permettra d’appliquer une tarification ajustée.

Sachez toutefois que la réglementation a évolué en 2022. La loi Lemoine a ainsi supprimé le questionnaire de santé sous certaines conditions depuis le 1er juin 2022 :

  • La part assurée doit être inférieure à 200 000€ (400 000€ en cas d’emprunt à deux avec une quotité à 50/50).

  • Les sommes couvertes par l’assurance doivent être remboursées avant le 60ème anniversaire de l’emprunteur.

Si vous êtes éligible à ce dispositif, l’assureur ne peut rechercher aucune donnée de santé vous concernant. Les personnes avec un passif de santé peuvent théoriquement accéder à l’assurance emprunteur à des tarifs standards. Il s'avère qu'il est difficile d'emprunter sans questionnaire de santé en 2023.

Quelle est la meilleure assurance de prêt immobilier ?

Le choix de la bonne assurance emprunteur est crucial pour être bien couvert en toutes circonstances et bénéficier du meilleur tarif. En vertu du principe de délégation, vous êtes libre de choisir l’assurance qui va sécuriser votre prêt immobilier. Depuis septembre 2010, la loi Lagarde autorise tous les emprunteurs à refuser l’assurance proposée par la banque pour lui préférer une offre externe moins chère à garanties au moins équivalentes.

Pour trouver le bon contrat, il suffit de mettre les offres en concurrence via un comparateur d’assurance prêt immobilier, un outil simple, rapide et gratuit qui vous donne accès aux meilleures assurances du marché. À garanties équivalentes, une assurance alternative coûte jusqu’à trois fois moins chère que la proposition bancaire.

La différence entre contrat groupe et contrat individuel ne se résume pas à l'intérêt financier. Vous bénéficiez généralement de garanties plus étendues, qui prennent en compte votre éventuelle problématique (santé, profession) et vous couvrent de manière optimale. Les maladies non objectivables (pathologies du dos, affections psychologiques) qui font systématiquement partie des exclusions de garanties peuvent ainsi faire l’objet d’un rachat d’exclusion moyennant une surprime qui vous garantit une prise en charge en cas d’arrêt de travail causé par le problème de santé concerné.

Utilisez un simulateur d’assurance de prêt pour évaluer le coût de l’assurance et confronter les taux d’assurance proposés par les assureurs alternatifs en regard du taux affiché par le contrat bancaire.

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Baisse ou stabilité ? Comment vont évoluer les taux de prêt immobilier en 2025 ?

En ce début 2025, les taux de crédit immobilier ont continué leur lente décrue entamée il y a déjà un an. La politique monétaire de la Banque Centrale Européenne rend l’emprunt plus accessible à la faveur d’une inflation désormais stabilisée autour de 2%. La concurrence interbancaire est vive et certains ménages peuvent s’endetter sous les 3%. Est-ce que le phénomène va durer alors que la dette française s’envole en raison d’un marché obligataire moins confiant quant aux perspectives budgétaires du pays ? Taux de crédit immobilier toujours orientés à la baisse en janvier 2025 Fin 2023, les taux d’emprunt immobilier étaient au-delà de 4% sur les durées supérieures ou égales à 15 ans. En décembre 2023, on s’endettait en moyenne autour de 4,50% (hors assurance emprunteur et coût des sûretés) sur la maturité classique de 20 ans. Un an plus tard, les taux ont perdu environ 100 points de base et s’affichent désormais en moyenne : autour de 3% sur 15 ans entre 3,15% et 3,30% sur 20 ans entre 3,30% et 3,45% sur 25 ans Les moyennes ne sont que des indicateurs. La négociation se fait entre 4 yeux sur la base d’un dossier dûment complété. Pour chaque demande de prêt, la banque analyse la solvabilité de l’emprunteur et les autres paramètres financiers (niveau de revenus, reste à vivre, épargne de précaution, apport personnel), et propose un taux d’intérêts plus ou moins compétitif. Les meilleurs dossiers peuvent actuellement emprunter sous les 3% sur 20 ans, soit le niveau observé en mars 2023. Les profils qui empruntent à un taux inférieur à 3%  Pour obtenir un taux légèrement inférieur à 3%, il faut présenter 3 arguments solides : Un apport personnel d’au moins 15% du montant de l’opération Des revenus annuels supérieurs à 50 000€ pour une personne seule et à 80 000€ pour un couple Une épargne de précaution équivalente à 6 mensualités d’emprunt. Les banques sélectionnent en priorité les profils sans risques, dotés d’un potentiel d’épargne. Elles peuvent leur proposer à l’avenir des produits de placement financier (assurance vie, Plan Epargne Retraite), plus rémunérateurs que le crédit immobilier qui reste, pour elles, un simple produit d’appel. Des prêts immobiliers à taux bonifiés pour la primo-accession Parlons des primo-accédants, qui représentent plus de la moitié du marché du crédit immobilier. Ceux-là sont a priori éligibles au PTZ s’ils achètent leur résidence principale. Dans l’attente d’un prochain décret qui validera l’extension du PTZ à toute la France et à la maison individuelle, conformément aux annonces de la ministre du Logement et du Premier Ministre, certaines banques continuent de proposer des taux bonifiés, quand d’autres s’y mettent. Les établissements de crédit tentent de pallier l’absence de budget 2025. Sans texte législatif, les bonnes intentions en faveur de l’accession à la propriété sont lettres mortes. Les banques ne peuvent se couper du marché de la primo-accession et accordent à cette clientèle des taux bonifiés généralement compris entre 0% et 2% (hors assurance emprunteur) pour un montant qui n’excède pas 30 000€, mais qui complète avantageusement un PTZ. Pour mémoire, le PTZ est toujours souscrit en complément d’un crédit classique et peut financer entre 20% et 50% du montant de l’opération. Le marasme politique actuel est préjudiciable au marché immobilier. La réforme du PTZ 2024 avait été mise en place par décret en avril. 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Or, l’OAT 10 ans, emprunt de l’État français sur 10 ans, frôle actuellement les 3,5%, une première depuis la crise de la zone euro en 2011. Cet indicateur était sous les 2,90% début décembre, avant la nomination de Français Bayrou comme Premier Ministre. L’envolée de la dette française Même si les taux obligataires des autres États européens sont eux aussi orientés à la hausse, en réaction aux futures mesures protectionnistes de Donald Trump, le regain de tension sur le « spread», l’écart entre les taux français et allemand, témoigne d’un risque spécifique attribué à la France nettement plus élevé : le spread était inférieur à 50 points en juin 2024, avant la dissolution surprise de l’Assemblée nationale, contre 86 points actuellement. Les experts tablent sur une grande volatilité dans les mois à venir et sont pessimistes quant à la capacité de la France à réduire son déficit en 2025. À l’exception de la Roumanie, notre pays affiche la pire performance des 27 pays de l’UE, avec un déficit public à 6,1% du produit intérieur brut (PIB), très loin des 3% prônés par Bruxelles. Prévisions 2025 pour le crédit immobilier  Dans ce contexte défavorable, marqué la défiance des investisseurs, il est probable que les taux de crédit immobilier arrêtent de baisser et se stabilisent autour de 3% au cours du premier semestre. 3%, cela reste un taux performant, à mille lieux des 5% qui prévalaient entre 2000 et 2010. Les banques vont continuer de se montrer agressives pour attirer le chaland et faire oublier les années noires 2023/2024. Leurs objectifs commerciaux sont ambitieux, il faut donc profiter de cette fenêtre pour concrétiser un projet immobilier dans les meilleures conditions.

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Senior : comment changer de mutuelle santé après 65 ans ?

Vous êtes retraité et vous souhaitez changer votre mutuelle actuelle, mal adaptée à vos besoins et/ou trop chère ? Le changement de mutuelle santé après 65 ans est une démarche importante qui nécessite une attention particulière. Voici un guide détaillé pour vous accompagner dans cette transition, en tenant compte des spécificités liées à l'âge et des nouvelles dispositions en vigueur. Quelles sont les conditions de résiliation de votre mutuelle actuelle ? La loi Hamon et le principe de résiliation infra-annuelle ont considérablement simplifié les démarches de résiliation des complémentaires santé. Vous pouvez désormais résilier votre contrat à tout moment après la première année d'engagement, sans avoir à justifier votre décision. Cette flexibilité permet à tous les assurés, et notamment aux seniors, de changer de mutuelle dès qu'ils trouvent une offre plus avantageuse. La procédure de résiliation est simple : Envoyez une lettre recommandée avec accusé de réception à votre mutuelle actuelle. Votre nouvelle mutuelle senior peut également s'occuper des formalités de résiliation. La résiliation prend effet un mois après la réception de la demande. Vous n'avez pas besoin d'attendre la date anniversaire de votre contrat. Quels sont les points essentiels avant de changer de mutuelle ? Avant d'entamer les démarches de changement, plusieurs éléments méritent votre attention : L'analyse de vos besoins médicaux actuels Après 65 ans, les besoins en matière de santé évoluent. Évaluez précisément vos besoins en considérant : vos pathologies chroniques éventuelles la fréquence de vos consultations médicales vos besoins en optique, dentaire et audiologie vos traitements médicaux réguliers vos hospitalisations prévisibles Le budget à consacrer Déterminez un budget mensuel réaliste en tenant compte : de vos revenus de retraite de vos dépenses de santé habituelles de votre capacité d'épargne des éventuelles aides (Complémentaire Santé Solidaire, aides locales) auxquelles vous pourriez avoir droit Les garanties indispensables à privilégier Pour une couverture optimale après 65 ans, certaines garanties sont particulièrement importantes : Hospitalisation : Prise en charge de la chambre particulière Couverture des dépassements d'honoraires Forfait journalier hospitalier sans limitation de durée Frais d'accompagnant Soins courants : Remboursement optimal des consultations de spécialistes Couverture des dépassements d'honoraires Prise en charge des actes de prévention Analyses et examens de laboratoire Optique et dentaire : Forfaits généreux pour les lunettes et lentilles Couverture importante des prothèses dentaires Prise en charge des implants dentaires Appareillage : Remboursement conséquent des prothèses auditives Prise en charge du petit et grand appareillage Forfaits pour le matériel médical Quels sont les critères de choix de votre nouvelle mutuelle ? Pour sélectionner votre nouvelle mutuelle, considérez les aspects suivants : La solidité financière : Optez pour un organisme reconnu et financièrement stable. Les grands groupes mutualistes offrent généralement plus de garanties de pérennité. Le réseau de soins : Vérifiez si la mutuelle dispose d'un réseau de professionnels de santé partenaires, permettant de bénéficier de tarifs négociés et de tiers payant. Les services complémentaires : assistance à domicile, téléassistance, programme de prévention, téléconsultation médicale, suivi en ligne des remboursements Le délai de carence : Certaines mutuelles imposent des délais de carence pour les nouveaux adhérents, notamment sur la garantie hospitalisation. Négociez leur suppression, particulièrement si vous êtes déjà couvert. Important : la mutuelle dite responsable respecte un cahier des charges réglementé avec un panier minimum de soins et de prestations. Elle applique le dispositif 100% Santé ou zéro reste à charge en optique, prothèses dentaires et aides auditives, le tiers payant et rembourse intégralement le forfait journalier hospitalier quel que soit le nombre de jours. Les formalités d'adhésion à une mutuelle  Pour adhérer à votre nouvelle mutuelle, préparez les documents suivants : Pièce d'identité Relevé d'identité bancaire  Attestation de droits de l'Assurance Maladie Certificat de radiation de votre ancienne mutuelle Les étapes du changement 1 - Souscription à la nouvelle mutuelle senior : Remplissez le bulletin d'adhésion Fournissez les documents demandés Signez le contrat Mettez en place le prélèvement automatique 2 - Transition entre les 2 mutuelles : Évitez toute période sans couverture Conservez les justificatifs de résiliation Informez vos professionnels de santé habituels Mettez à jour votre carte Vitale 3 - Suivi post-changement : Vérifiez la bonne prise en compte de vos premiers remboursements Conservez une copie de tous les documents échangés Notez les coordonnées du service client de votre nouvelle mutuelle Optimisation des coûts et avantages Suivez ces recommandations pour optimiser votre nouvelle couverture : Les dispositifs d'aide  Vérifiez votre éligibilité à la Complémentaire Santé Solidaire (CSS) Renseignez-vous sur les aides locales (CCAS, département) Explorez les possibilités de réduction (souscription en couple senior, paiement annuel, parrainage) Points de vigilance Voici quelques éléments à surveiller particulièrement : Les exclusions de garanties : Lisez attentivement les conditions générales pour identifier les exclusions éventuelles. Les plafonds de remboursement : Vérifiez les limites annuelles de remboursement, particulièrement pour les postes coûteux (optique, dentaire). La territorialité : Si vous voyagez régulièrement, assurez-vous de la couverture à l'étranger. Ce qu’il faut retenir Le changement de mutuelle après 65 ans doit être une décision réfléchie, basée sur une analyse approfondie de vos besoins et des offres disponibles. N'hésitez pas à : Comparer plusieurs devis Solliciter des courtiers spécialisés Prendre le temps de lire les conditions générales Demander des précisions sur les points obscurs Un changement de mutuelle bien préparé vous permettra d'optimiser votre couverture santé tout en maîtrisant votre budget. La clé du succès réside dans une évaluation précise de vos besoins et une comparaison minutieuse des offres disponibles. Cette démarche, bien que nécessitant du temps et de l'attention, peut vous permettre de réaliser des économies significatives pouvant aller jusqu’à 300€ par an, tout en bénéficiant d'une protection adaptée à votre situation. N'oubliez pas que vous pouvez toujours être accompagné par des professionnels pour vous guider dans ce changement important.