Presse / Assurance Crédit immo : déjà 800 millions d'euros de pouvoir d'achat redistribués aux emprunteurs !

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Communiqué de Presse - 27 mai 2025
 
Entrée en vigueur le 1er juin 2022, la loi Lemoine a profondément transformé le marché de l’assurance de prêt immobilier. Elle permet aux emprunteurs de résilier leur contrat à tout moment et d’échapper à la sélection médicale sous certaines conditions. Immédiatement saluée comme une avancée en faveur du pouvoir d’achat, cette mesure a favorisé une dynamique forte de changement d’assurance, amplifiée par la résiliation possible en « 3 clics ».
 

Selon le rapport du Comité Consultatif du Secteur Financier (CCSF) publié en janvier 2024, les substitutions ont bondi de +80 % par rapport à 2021.

Chez Magnolia.fr, cette réforme a permis d’accompagner près de 80 000 emprunteurs depuis son entrée en vigueur, générant plus de 800 millions d’euros d’économies cumulées. 

Cependant, malgré la facilitation des démarches, de nombreux obstacles persistent laissant 80% du marché de l'assurance de prêt aux banques prêteuses qui pratiquent pourtant des tarifs 2 à 4 fois supérieurs à la concurrence.

Succès du dispositif “pouvoir d’achat”  : + facile depuis la résiliation en 3 clics

Le changement d’assurance de prêt fait un bond olympique depuis la loi Lemoine. Le rapport du CCSF (Comité Consultatif du Secteur Financier) publié en janvier dernier indique une augmentation de +80% par rapport à 2021

Un vif succès est visible chez Magnolia.fr où nous avons accompagné quelques 80 000 emprunteurs depuis juin 2022, ce qui a permis de leur redistribuer plus de 800 millions d’euros.

Le principe de résiliation en 3 clics, obligatoire depuis 2 ans, a largement permis une accélération et une facilitation des démarches de changement puisque celles-ci peuvent se faire directement en ligne via les espaces clients banque des emprunteurs. Cela permet une réponse des banques sous 48h et permet un changement effectif en moins d’une semaine. Une vraie révolution !

Pas de renversement du marché

Un succès qu’il convient toutefois de relativiser. Selon les chiffres du CCSF, les parts de marché des alternatifs sont passées de 15,3% fin 2021 à 16,1% en 2023. La progression de la concurrence reste donc dans l’épaisseur du trait. 

Si libéralisation il y a, elle demeure étouffée par les bancassureurs qui conservent la mainmise sur le produit.

Il faut aussi appuyer sur les pratiques bancaires abusives qui se perpétuent malgré le renforcement des sanctions :

  • Non-respect du délai légal de 10 jours ouvrés : dans les faits, il faut compter encore au moins 20 jours pour obtenir une réponse à une demande de substitution (délai raccourci de 30 à 20 jours en moyenne depuis l’application de la résiliation en 3 clics);
     
  • Ajout de garanties superflues : soumis à l’équivalence de niveau de garanties, le changement d’assurance de prêt devient impossible à cause d'offres qui incluent des garanties inadaptées à l’emprunteur : garanties liées à une activité professionnelle pour les emprunteurs retraités (largement appliquées par l’ensemble des caisses régionales du Crédit Agricole) ou encore garantie obligatoire Perte d’emploi à moindre coût (et à moindre utilité) qui empêche la délégation de s’aligner (Par ex, CRCA Poitou)

Fin du Questionnaire de Santé : quelle hausse des tarifs ?

Autre mesure phare de la loi Lemoine : la suppression du questionnaire de santé pour les prêts de moins de 200 000 € remboursés avant les 60 ans de l’emprunteur. 

Cette mesure a entraîné une hausse maîtrisée des primes (+5 à +20 %), sans dégradation des garanties. 

Pour un emprunteur de 30 ans avec un prêt de 180 000 €, la prime mensuelle est passée de 23 € à 26 €. L’impact sur le pouvoir d’achat reste donc limité.

Une législation pour tous et des économies conséquentes à la clé

Contrairement à l’assertion du CCSF, la loi Lemoine concerne tous les profils d’emprunteurs, pas seulement les catégories CSP+ ou les « bons risques ».

“Malgré ce que les établissements prêteurs proclament, le changement d’assurance reste intéressant pour TOUS les profils. Chez Magnolia.fr, l’emprunteur moyen qui profite de la Loi Lemoine a 42 ans. Pourtant, le marché peine à bouger et la grande majorité emprunteurs restent bloqués avec leur assurance bancaire. Le manque d’informaiton, la peur d’entrer dans des démarches complexes , la peur de froisser sa banque en cas de nouveaux projets,de multiples raisons expliquent cela.” explique Astrid Cousin, porte parole du groupe Magnolia.

Pourtant un emprunteur qui change son assurance en cours de prêt économisera 10 000 euros en moyenne.

Chez Magnolia.fr, nous affirmons que la loi Lemoine profite à tous, quels que soient son profil et le montant du prêt. 

"Le Groupe Magnolia a pour ambition d’atteindre le milliard d’euros d’économies générées pour nos clients d’ici la fin de l’année." conclue Gérald Loobuyck, PDG du groupe Magnolia.

 
 

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Immobilier 2025 : faut-il attendre ou acheter maintenant ?

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D’après les dernières données Notaires-INSEE, les indices de prix ont très légèrement reculé de 0,1 % sur 3 mois au 1er janvier 2025, aussi bien pour les appartements anciens que les maisons anciennes. Certaines grandes villes affichent encore des baisses marquées, comme Lyon (-4,7 %), Reims (-5,2 %) ou Nantes (-5,4 %) sur l’année 2024. À l’inverse, d’autres zones connaissent un regain d’intérêt : les stations balnéaires (+24,7 % en un an) et les zones de montagne (+26,2 %) ont vu leurs prix flamber. Des villes comme Toulon (+7,1 %) ou certaines communes de la côte Atlantique tirent aussi leur épingle du jeu. Ces disparités géographiques traduisent un marché à 2 vitesses : certaines zones tendues retrouvent de l’attractivité tandis que d’autres, encore pénalisées par la baisse de la demande, continuent de corriger. Conjuguée à la stabilisation des prix immobiliers, la baisse des taux d’intérêts contribue à améliorer la capacité d’emprunt, à mensualité constante. Reprise progressive du marché immobilier La baisse des taux a un effet mécanique : elle redonne du souffle au budget des ménages. Les acquéreurs peuvent emprunter davantage à mensualité constante, ce qui permet à certains d'envisager de nouveau un projet mis en pause. Néanmoins, les volumes de ventes restent modestes. Les notaires évoquent un marché en convalescence, encore fragile. Les professionnels du secteur anticipent une légère hausse des prix à l’échelle nationale (environ 2 % attendus en 2025), mais la reprise devrait rester contrastée selon les territoires. Acheter dans l’immobilier en 2025 : une décision à adapter à son profil Faut-il acheter cette année ? Tout dépend de votre situation, de vos objectifs et du contexte local. 1. Primo-accédants : des opportunités à saisir Pour les acheteurs réalisant leur premier achat, les conditions actuelles peuvent être intéressantes, surtout si leur dossier est solide. En 2025, il est possible de profiter d’un double effet bénéfique : des taux plus attractifs et des prix encore mesurés dans de nombreuses zones. Un conseil : si un bien vous plaît et que vous pouvez le financer, mieux vaut agir plutôt que d’attendre une hypothétique baisse supplémentaire des prix. Celle-ci n’est pas garantie, et les taux pourraient remonter si la conjoncture change. Autre élément important : vous pouvez renégocier votre crédit immobilier dans quelques années si les taux poursuivent leur baisse. En revanche, le prix d’achat, lui, est définitif. Il est donc essentiel de bien acheter dès le départ. En tant que primo-accédant de votre résidence principale, vous êtes éligible au PTZ, un prêt sans intérêts pour l’emprunteur qui peut financer jusqu’à 50% de l’opération selon la zone, le type de bien (appartement, maison individuelle, neuf ou ancien) et vos revenus. 2. Secundo-accédants : bien évaluer l’écart de taux Les acheteurs qui souhaitent changer de logement tout en revendant leur bien actuel doivent faire attention à l’écart de taux entre leur ancien et leur futur prêt immobilier. Abandonner un crédit à 1 % pour souscrire un emprunt à 3 % nécessite une étude approfondie. Dans certains cas, l’opération reste viable si la baisse de prix sur le nouveau bien compense la hausse du taux. À l’inverse, si cette condition n’est pas remplie, il peut être judicieux de différer le projet. Certains emprunteurs peuvent envisager un transfert ou portabilité de prêt immobilier, une opération qui consiste à conserver l’ancien taux avantageux pour le nouvel emprunt. Mais cette clause, souvent absente des contrats, reste peu fréquente. Une relecture du contrat initial est donc indispensable avant toute décision. Même si cette disposition figure dans l’offre de prêt initiale, elle nécessite l’accord de la banque et implique de régler l’achat et la vente dans un délai de 6 mois. 3. Investisseurs locatifs : des rendements à réévaluer Pour un projet d’investissement locatif, le contexte actuel peut être favorable à condition que les loyers couvrent les mensualités de crédit. Avec des taux en repli, le coût d’un emprunt baisse, améliorant potentiellement la rentabilité de l’opération. Dans les zones dynamiques où la demande locative reste soutenue, un projet peut rapidement devenir rentable. Cependant, attention à la fiscalité applicable et aux éventuels travaux à prévoir. Mieux vaut privilégier les villes où l’équilibre entre prix d’achat et niveau des loyers est favorable. Les facteurs à surveiller en 2025 Avant de vous lancer, certains indicateurs méritent une attention particulière : Évolution des taux : même s’ils sont orientés à la baisse, les taux restent sensibles à la politique monétaire et peuvent évoluer à la hausse. Tensions sur le marché : certaines villes retrouvent une tension sur l’offre, ce qui pourrait entraîner une hausse rapide des prix. Aides à l’achat : suivez les dispositifs publics (PTZ, TVA réduite dans le neuf, avantages fiscaux avec dispositif Denormandie dans l’ancien) qui peuvent influencer votre capacité d’achat. Inflation et salaires : si l’inflation reste contenue et que les salaires augmentent légèrement, cela améliorera la solvabilité des ménages. Notre verdict : investir dans l’immobilier en 2025, oui mais avec discernement En résumé, les signaux sont globalement positifs pour l’immobilier en 2025, en particulier grâce à la détente des taux et à la stabilisation des prix. Mais la reprise reste hétérogène selon les territoires. Acheter en 2025 peut être judicieux si le projet est mûrement réfléchi, que le financement est sécurisé et que le bien est situé dans une zone porteuse. Dans le doute, l’accompagnement par un conseiller immobilier ou un courtier peut s’avérer précieux pour affiner votre stratégie d’achat.

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La mutuelle santé senior la plus chère est-elle toujours la meilleure en 2025 ?

Avec l’âge, les besoins en santé augmentent… et les cotisations aussi. Face à une offre pléthorique de contrats, de nombreux retraités se demandent si souscrire la mutuelle santé senior la plus chère est synonyme de meilleure couverture. Cette équation mérite une analyse objective, car prix élevé ne rime pas toujours avec protection optimale ou bon rapport qualité/prix. Dans cet article, nous décryptons les critères de choix d'une mutuelle senior, la réalité derrière les tarifs élevés et les bonnes pratiques pour trouver la meilleure mutuelle santé senior adaptée à votre profil et à votre budget. Pourquoi les cotisations des mutuelles santé seniors sont-elles plus élevées ? Avec l’avancée en âge, les assureurs anticipent une consommation médicale plus importante : consultations fréquentes, hospitalisations, soins dentaires ou optiques, voire appareillages spécifiques. C’est pourquoi les cotisations santé augmentent progressivement avec les années, notamment après 55 ans. 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Une formule chère peut proposer : Des plafonds de remboursement très élevés, voire sans reste à charge pour les lunettes, l’hospitalisation ou les soins dentaires. Des prestations supplémentaires : forfait médecines douces, cure thermale, assistance à domicile, chambre particulière. Une absence de délai de carence ou de sélection médicale. Un accès privilégié à un réseau de soins partenaires, permettant des tarifs négociés. Cependant, certaines mutuelles chères surestiment leurs garanties ou incluent des services peu utiles selon le profil. Par exemple, un senior n’ayant pas de problème dentaire paiera inutilement pour des remboursements dentaires à 400 % BR (base de remboursement). C’est pourquoi il est essentiel de comparer le prix à la couverture réelle et aux besoins de l’assuré. Prix élevé = meilleure qualité ? Une idée reçue en 2025 En 2025, le marché de la complémentaire santé est encore plus concurrentiel, avec des offres sur-mesure et évolutives. Certaines mutuelles affichent des prix élevés, mais n’apportent pas une valeur ajoutée proportionnelle. Les pièges fréquents des mutuelles seniors chères Des garanties inutiles (ex : médecine douce à 500 €/an) si vous n’y avez pas recours. Un marketing basé sur la peur (ex : "Protection premium + assistance VIP") sans réelle plus-value médicale. Des contrats avec des frais de gestion importants, intégrés dans la prime. Paradoxalement, certaines mutuelles santé seniors moins chères proposent des garanties parfaitement adaptées pour des profils précis, grâce à une sélection intelligente des postes de remboursement. Comment bien évaluer la qualité d’une mutuelle santé senior ? Voici les critères objectifs à analyser pour juger de la qualité d’un contrat, indépendamment de son prix : 1. Le niveau de remboursement sur les postes clés Vérifiez les remboursements réels (en euros ou en pourcentage de la Base de Remboursement de la Sécurité Sociale BRSS) pour les postes suivants : Hospitalisation (frais de séjour, chambre particulière, honoraires) Soins dentaires (prothèses, implants, parodontologie) Optique (montures, verres progressifs) Audition (appareils auditifs, entretien) Médecines douces ou alternatives si vous les utilisez La réglementation oblige les organismes de complémentaire santé à intégrer dans leurs devis des exemples chiffrés de remboursements sur les postes clefs. 2. Les exclusions et délais de carence Une mutuelle très chère peut tout de même imposer un délai de carence de 3 à 6 mois, ou exclure certains actes comme les implants dentaires. Cela réduit considérablement sa valeur à court terme. 3. Le rapport cotisation / prestations Faites un calcul simple : Si vous payez 180 € par mois mais que vous utilisez en moyenne 100 € de soins remboursés, le rapport est mauvais. Utilisez un comparateur avec estimation du reste à charge pour votre profil médical. 4. Les services annexes Certains contrats incluent : Un accompagnement hospitalier Un accès à des plateformes de téléconsultation Une assistance en cas de perte d’autonomie Des conseils santé personnalisés Ces services ont une valeur... s’ils sont utilisés. Classement 2025 : les mutuelles seniors les plus chères… et les plus performantes ? Les classements publiés en 2025 montrent que les mutuelles haut de gamme figurent également parmi les meilleures en satisfaction client, notamment pour : Le remboursement rapide La transparence des garanties L’accès à un réseau de soins étendu Mais d’autres contrats à tarif modéré obtiennent un meilleur rapport qualité-prix, avec des garanties ciblées et des cotisations autour de 90 à 140 € par mois. Voici le TOP 5 des meilleures mutuelles seniors 2025 grâce au simulateur du courtier Magnolia.fr pour un niveau maximal de garantie (hospitalisation, soins courants, dentaire et optique) pour une femme de 60 ans vivant dans le Calvados : Mutuelle Prix mensuel Points forts Zen Care (contrat non responsable) 99 € Prise en charge du secteur non conventionné April Only Santé OS5 121 € Prise en charge à 200% BRSS* des soins courants SwissLife Santé Retraités SR7 125 € Prise en charge à 250% BR* de hospitalisation, soins courants et cures thermales Innov Santé IS6 137 € Prise en charge du secteur non conventionné ; bonus fidélité à partir de la 2ème année ; services d’assistance Kiassure Instassur I6 141 € Prise en charge du secteur non conventionné ; bonus fidélité à partir de la 2ème année ; services d’assistance *BRSS : Base de Remboursement de la Sécurité Sociale Chère ou pas chère : la meilleure mutuelle santé senior est celle qui vous ressemble En résumé, la meilleure mutuelle senior n’est pas forcément la plus chère, mais celle qui s’adapte parfaitement à votre situation médicale et financière. Posez-vous les bonnes questions : Avez-vous des besoins dentaires ou optiques particuliers ? Êtes-vous souvent hospitalisé(e) ? Utilisez-vous des médecines alternatives ? Avez-vous besoin d’une couverture immédiate ou pouvez-vous accepter un délai ? Quel est votre budget mensuel maximum pour la santé ? Nos conseils pour bien choisir votre mutuelle santé senior en 2025 Comparez systématiquement plusieurs devis Utilisez des comparateurs fiables et demandez des simulations personnalisées. Méfiez-vous des formules "premium" standardisées. Vérifiez les garanties ligne par ligne N’hésitez pas à demander un tableau de garanties détaillé pour comparer poste par poste. Adaptez votre contrat à votre âge et vos antécédents Ce qui est utile à 62 ans ne l’est pas forcément à 75. Pensez à réévaluer votre contrat tous les 2 à 5 ans. Bon à savoir : vous avez l’opportunité de mieux maîtriser le coût de votre couverture santé complémentaire en vertu du principe de résiliation infra-annuelle en mutuelle santé qui vous permet de renoncer gratuitement à tout moment à votre contrat après une année de souscription. Conclusion : Faut-il payer plus pour être mieux couvert ? En 2025, le prix d’une mutuelle santé senior ne reflète pas toujours sa qualité réelle. Si certains contrats haut de gamme sont justifiés par des garanties solides, d’autres gonflent leur tarif sans apporter de couverture adaptée. L’essentiel est de choisir une mutuelle ajustée à vos besoins réels, ni sous-dimensionnée, ni surdimensionnée. Pour cela, faites jouer la concurrence, posez les bonnes questions… et méfiez-vous des idées reçues : le plus cher n’est pas toujours le mieux.

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Primo-accédants immobiliers : comment doubler son PTZ en 2025 ?

Bonne nouvelle pour les primo-accédants : 2025 marque un tournant dans l’accès à la propriété. L’État a élargi le prêt à taux zéro (PTZ) à toute la France, y compris aux maisons individuelles neuves. En parallèle, certaines banques vont plus loin en doublant ce financement via un prêt complémentaire à 0 %, une stratégie qui change la donne pour de nombreux acheteurs. Vous rêvez de devenir propriétaire ? Voici comment maximiser votre budget en profitant pleinement de ces nouvelles opportunités. PTZ 2025 : une réforme essentielle pour les primo-accédants L’année 2025 marque un changement majeur dans le paysage du crédit immobilier. Le PTZ, ce prêt sans intérêts réservé aux primo-accédants de leur résidence principale, a été profondément remanié : Élargissement géographique : le PTZ dans le neuf s’applique désormais sur tout le territoire, y compris les zones rurales, alors qu’il était jusque-là limité aux zones tendues. Éligibilité des maisons neuves : les constructions individuelles, exclues depuis 2021, redeviennent finançables via le PTZ. Allongement de la durée maximale : le remboursement peut désormais s’étaler jusqu’à 25 ans, offrant des mensualités allégées. L’objectif est clair : faciliter l’accès à la propriété, en particulier pour les jeunes ménages, et relancer le marché de la construction. Important : le PTZ est toujours souscrit en complément d’un prêt immobilier classique.  Bon à savoir : un décret de mars 2025 ouvre droit au cumul du PTZ et de MaPrimRénov’ si votre achat nécessite une rénovation d’ampleur. Quelles sont les conditions pour obtenir le PTZ en 2025 ? Le PTZ reste un prêt aidé soumis à conditions. Pour être éligible en 2025, vous devez : Être primo-accédant, c’est-à-dire ne pas avoir été propriétaire de votre résidence principale au cours des 2 dernières années. Respecter des plafonds de ressources, qui varient selon la composition du foyer et la localisation du bien. Acquérir un logement neuf ou ancien avec travaux représentant au moins 25 % du coût total. Exemple chiffré : un couple avec un projet de construction d’une maison à 250 000 € et un apport de 20 000 € peut obtenir un PTZ de 40 000 €, réduisant son emprunt bancaire à 190 000 €. Résultat : une mensualité de 941 €, contre 1 139 € sans PTZ – soit près de 200 € d’économie par mois. Les banques innovent : des PTZ doublés pour les jeunes emprunteurs Certaines banques vont encore plus loin que le dispositif gouvernemental. Leur promesse ? Compléter le PTZ jusqu’à en doubler le montant. Banque Populaire : jusqu’à 25 000 € supplémentaires à 0 % Dès mars 2025, la Banque Populaire a lancé une offre exclusive pour les moins de 36 ans : Un prêt complémentaire égal au montant du PTZ, jusqu’à 25 000 € Taux d’intérêt de 0 % Durée jusqu’à 25 ans Aucuns frais de dossier Cette initiative vise à soutenir environ 22 000 projets immobiliers supplémentaires sur l’année. Une stratégie offensive pour conquérir le marché des jeunes primo-accédants. Crédit Agricole : un prêt bonus jusqu’à 20 000 € Le Crédit Agricole propose un prêt similaire, plafonné à 20 000 €, également à taux zéro. Il est accessible jusqu’au 30 juin 2025, sous réserve d’éligibilité. Ces offres permettent concrètement de booster l’aide reçue via le PTZ, tout en maintenant des conditions de remboursement avantageuses. Une manière pour les banques de relancer la demande de crédit tout en fidélisant une clientèle jeune. On remarquera que le terme “doubler” employé par les banques est pour le moins excessif, puisque le PTZ 2025 peut financer jusqu’à 50% du montant de l’opération, soit un maximum de 180 000 € dans le neuf et de 132 000 € dans l’ancien. Quels sont les avantages concrets pour les futurs propriétaires immobiliers ? Il n’empêche, l’effet levier du “PTZ boosté” est significatif, en particulier pour les ménages modestes ou les jeunes actifs. 1. Réduction des mensualités L’addition d’un second prêt à taux zéro permet de réduire le montant de l’emprunt classique. Résultat : moins d’intérêts à rembourser, et donc des mensualités allégées. 2. Accès facilité à la propriété En augmentant l’apport global (grâce au PTZ + prêt complémentaire bancaire), les candidats à l’achat présentent un dossier plus solide aux yeux des banques. 3. Meilleure capacité d’endettement Avec des mensualités réduites, le taux d’endettement reste dans la norme (souvent plafonné à 35 %). 4. Soutien à la construction neuve Cette dynamique encourage les primo-accédants à se tourner vers le neuf (appartement et maison individuelle), contribuant ainsi à la relance du secteur du BTP. PTZ doublé : un levier pour relancer le marché immobilier Le marché immobilier sort difficilement d’une crise entamée fin 2022. Hausse des taux, baisse du pouvoir d’achat, durcissement des conditions de crédit : autant d’obstacles à l’accession à la propriété. Face à ce constat, le gouvernement et les établissements financiers joignent leurs forces pour inverser la tendance. L’objectif : soutenir la construction de 15 000 logements supplémentaires en 2025 via l’élargissement du PTZ. Les banques, de leur côté, misent sur les jeunes acheteurs pour stimuler la demande. Le PTZ doublé devient alors un outil d’attractivité commerciale, dans un contexte de forte concurrence entre établissements. Comment bénéficier du PTZ doublé en 2025 ? Étape 1 : vérifier son éligibilité Avant toute chose, consultez les plafonds de ressources en vigueur et simulez votre capacité d’emprunt sur le site officiel du gouvernement ou via votre courtier. Étape 2 : comparer les offres bancaires Toutes les banques ne proposent pas (encore) le PTZ doublé. Tournez-vous vers les établissements ayant officialisé leur offre, comme la Banque Populaire ou le Crédit Agricole. Étape 3 : constituer un dossier solide Un bon dossier inclura : Vos 3 derniers bulletins de salaire 2 avis d’imposition Un justificatif d’apport personnel Un plan de financement clair Sollicitez les services d’un courtier en crédit immobilier pour vous aider à monter un dossier convaincant, à déposer auprès d’un établissement ciblant les primo-accédants. Zoom sur l’assurance emprunteur pour primo-accédants Même avec un crédit à 0 %, l’assurance emprunteur reste obligatoire. Même si vous n’avez aucun intérêt à payer à la banque, le PTZ reste une dette que vous devez rembourser. L’assurance de prêt vous couvre en cas d’accident de la vie (décès, invalidité, incapacité de travail).  Pour limiter les coûts, mettez les offres en concurrence via un comparateur d’assurance de prêt. Vous devez souscrire 2 contrats différents, puisque le PTZ et le prêt immobilier classique n’ont pas la même durée. Là encore, l’accompagnement d’un expert est un atout. Le rôle d’un courtier en assurance emprunteur est de vous aider à obtenir l’assurance la plus compétitive, en accord avec les exigences bancaires de garanties. PTZ doublé : une opportunité à ne pas manquer en 2025 L’extension du PTZ, couplée aux offres bancaires permettant de le doubler, crée une fenêtre d’opportunité unique pour les primo-accédants. Grâce à ces dispositifs : Vous accédez plus facilement à la propriété Vous réduisez le coût global de votre crédit Vous profitez de conditions ultra-avantageuses, même en période de taux élevés Ne tardez pas : ces offres sont limitées dans le temps, certaines expirant dès juin 2025. Pour réussir votre projet immobilier, rapprochez-vous rapidement de votre conseiller bancaire ou d’un courtier spécialisé.